Description

À Notes importantes, traces d humidité sur la gauche de la lithographie, voir photo Lithographie est vendu avec son certificat d’authenticité Takanori Oguiss est un artiste peintre figuratif, né à Inazawa le 30 novembre 1901 au Japon, et est décédé le 14 octobre 1986 à Paris. Il étudie aux Beaux-Arts de Tokyo, avant d’arriver à Paris en 1927 avec plusieurs autres artistes et amis japonais tels que Tsuguharu Foujita ou Sadami Yokote. Il s’installe à Montparnasse où il fréquente les peintres de la cité des artistes de la Ruche et notamment Maurice Utrillo. Durant la Seconde Guerre mondiale, il a ordre de retourner au Japon où il devient peintre d’armées japonaises durant deux ans et demi. Mais, où il arrive à passer la plus grande partie de ce temps dans sa ville natale à peindre. Avant de revenir en France en 1948 et de retrouver son atelier au pied de la Butte Montmartre. Un artiste de la vie Parisienne L’art de Oguiss est essentiellement des vues de Paris, retranscrites en couleurs vibrantes. Il dépeint surtout les quartiers ou marchés pittoresques, et échoppes typiques à l’instar des merceries, des papeteries, des marchands de bois ou de charbon. En plus d’une palette colorée très marquée, l’artiste se démarque aussi par des cadrages particuliers, car ses vues de rues sont le plus souvent vides de présence humaine, mais lourdes de sens. Si la présence humaine est faite, elle est toujours là pour mettre en avant des petits artisans, des métiers étant voués à la disparition. Ainsi Oguiss se place comme un artiste préservant le passé. Grand voyageur, il va aussi parcourir l’Europe et peindre de nombreuses vues d’Amsterdam, d’Anvers et de Venise. Artiste d’esprit, Oguiss est un artiste aux multiples facettes. Il va en outre écrire et illustrer Les Nouvelles de Paris, en 1951. De même il publia ses interviews Les jeunes peintres de France ; en 1981, il publia et illustra Cinquante ans de ma vie artistique à Paris. Oguiss va aussi se tourner vers la lithographique lui permettant d’exceller dans l’art des portraits et des vues de Paris. Il nous fait suivre la ville à la manière d’une flânerie. Une carrière liée aux expositions Oguiss a tout au long de sa carrière exposé un grand nombre de fois. Tout d’abord dans le cercle d’amis de Tsuguharu Foujita. Ainsi qu’à d’autres expositions collectives à Paris, dès 1928 au Salon d’Automne ; puis 1929 au Salon des Indépendants ; ainsi qu’en 1956 avec Les Artistes en France. Et dans le monde au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris ; ou encore en 1957 à l’exposition des Paysages de Saint-Denis du XVIIe siècle à nos jours. Il ne faut pas non plus négliger sa carrière japonaise, où il expose à Tokyo, Osaka, et Nagoya ; ainsi qu’à Londres ; où il privilégie les expositions solitaires. Enfin, de nombreuses rétrospectives ont eu lieu à son sujet, notamment en 1988 aux musées de Tokyo, Kuré, Nagoya, Kyoto, Kamakura ; et quatre mois avant son décès, en 1986, le musée d’Art et d’Histoire de Saint — Denis. En 1983, à Inazawa, un musée lui est consacré où son atelier de la cité Montmartre-aux-artistes a été reconstitué Type:Lithographie Genre:Art déco Caractéristiques:Signée Thème:Mode
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Lithographie Takanori Oguiss Gravure Signée Paris Japon Art France Rue

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Mise à jour : 15/12/2024
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À Notes importantes, traces d humidité sur la gauche de la lithographie, voir photo Lithographie est vendu avec son certificat d’authenticité Takanori Oguiss est un artiste peintre figuratif, né à Inazawa le 30 novembre 1901 au Japon, et est décédé le 14 octobre 1986 à Paris. Il étudie aux Beaux-Arts de Tokyo, avant d’arriver à Paris en 1927 avec plusieurs autres artistes et amis japonais tels que Tsuguharu Foujita ou Sadami Yokote. Il s’installe à Montparnasse où il fréquente les peintres de la cité des artistes de la Ruche et notamment Maurice Utrillo. Durant la Seconde Guerre mondiale, il a ordre de retourner au Japon où il devient peintre d’armées japonaises durant deux ans et demi. Mais, où il arrive à passer la plus grande partie de ce temps dans sa ville natale à peindre. Avant de revenir en France en 1948 et de retrouver son atelier au pied de la Butte Montmartre. Un artiste de la vie Parisienne L’art de Oguiss est essentiellement des vues de Paris, retranscrites en couleurs vibrantes. Il dépeint surtout les quartiers ou marchés pittoresques, et échoppes typiques à l’instar des merceries, des papeteries, des marchands de bois ou de charbon. En plus d’une palette colorée très marquée, l’artiste se démarque aussi par des cadrages particuliers, car ses vues de rues sont le plus souvent vides de présence humaine, mais lourdes de sens. Si la présence humaine est faite, elle est toujours là pour mettre en avant des petits artisans, des métiers étant voués à la disparition. Ainsi Oguiss se place comme un artiste préservant le passé. Grand voyageur, il va aussi parcourir l’Europe et peindre de nombreuses vues d’Amsterdam, d’Anvers et de Venise. Artiste d’esprit, Oguiss est un artiste aux multiples facettes. Il va en outre écrire et illustrer Les Nouvelles de Paris, en 1951. De même il publia ses interviews Les jeunes peintres de France ; en 1981, il publia et illustra Cinquante ans de ma vie artistique à Paris. Oguiss va aussi se tourner vers la lithographique lui permettant d’exceller dans l’art des portraits et des vues de Paris. Il nous fait suivre la ville à la manière d’une flânerie. Une carrière liée aux expositions Oguiss a tout au long de sa carrière exposé un grand nombre de fois. Tout d’abord dans le cercle d’amis de Tsuguharu Foujita. Ainsi qu’à d’autres expositions collectives à Paris, dès 1928 au Salon d’Automne ; puis 1929 au Salon des Indépendants ; ainsi qu’en 1956 avec Les Artistes en France. Et dans le monde au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris ; ou encore en 1957 à l’exposition des Paysages de Saint-Denis du XVIIe siècle à nos jours. Il ne faut pas non plus négliger sa carrière japonaise, où il expose à Tokyo, Osaka, et Nagoya ; ainsi qu’à Londres ; où il privilégie les expositions solitaires. Enfin, de nombreuses rétrospectives ont eu lieu à son sujet, notamment en 1988 aux musées de Tokyo, Kuré, Nagoya, Kyoto, Kamakura ; et quatre mois avant son décès, en 1986, le musée d’Art et d’Histoire de Saint — Denis. En 1983, à Inazawa, un musée lui est consacré où son atelier de la cité Montmartre-aux-artistes a été reconstitué Type:Lithographie Genre:Art déco Caractéristiques:Signée Thème:Mode
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