AUTHENTIQUE COIFFE TOURANGELLE TOURAINE MARIAGE MARIE SOLOGNE BLOIS CONFOLENTAISE BRODERIE DENTELLE COSTUME FOLKLORE FOLKLORIQUE H2266Ancienne coiffe de mariée, broderie dentelle, de la région de Sologne Blois ou Confolentaise à identifier. La coiffe du jour du mariage était généralement ornée d’une fleur entourée d’une couronne de fleurs. N' hésitez pas à parcourir mon compte, je propose d' autres modèles à la vente Toutes nos coiffes proviennent d' une succession, sans défauts majeur, sinon le temps qui est passé, notons une minime déchirure sur le dessus. N'étant pas spécialiste nous ne pouvons confirmer l'origine et le nom de cette coiffe. N' hésitez pas à nous faire part de vos connaissances. Vendu tel que présenté. Pour l'état merci de bien détailler les photos. Les photos font partie intégrante de la description. Dimensions :Hauteur: 25.5 cm Largeur: 24 cm Je reste à votre disposition pour toutes questions. COIFFES TOURANGELLES Dans ce que les générations se transmettent tout n’est pas patrimoine. Celui-ci se construit dans la durée, entre autrefois et l’aujourd’hui. Le patrimoine n’a de sens que comme passerelle entre une culture d’autrefois qui témoigne du passé et une autre qui reste à venir. Les coiffes témoignent, elles sont des lectures de vies de femmes, de leur identité, des grands moments de leur existence : enfance, puberté, mariage, naissances, travail, cérémonies, mort des proches et vie quotidienne Parcourir l’univers des coiffes, c’est aussi mesurer les effets d’une globalisation sur plusieurs siècles qui dissout peu à peu les codes vestimentaires, identitaires, pour s’ouvrir à la ville et à l’industrie, puis à la mode et aujourd’hui à un standard mondial. Par un simple voile, un petit bonnet de coton ou un hennin sophistiqué, chaque femme, quelle que soit son appartenance sociale ou religieuse, se devait de couvrir ses cheveux… Quelques dates : 1789 : l’abolition des privilèges ouvre l’accès au port de la soie, des dentelles et des broderies deviennent possible à toutes les femmes, quelle que soit leur appartenance sociale.1870 : l’absence des hommes contraint le femmes à gagner du temps :les ajours à l’aiguille disparaissent pour laisser la place à la dentelle mécanique. Anecdote: le port de la jupe courte aurait été initié par les vendéennes afin d’attirer le peu d’hommes restants. Au début du XIXe siècle, au simple rôle utilitaire que jouait le bonnet porté par les paysannes, va se substituer un véritable code d’identité culturel et social de la femme. Cette évolution va débuter à la restauration, vers 1815 et la guerre de 1914 en achèvera le déclin. La coiffe se compose de quatre éléments principaux :Le fond de coiffe, généralement la partie la plus décorée, était protégé des cheveux par une sous coiffe, les cheveux étaient remontés en chignon. La passe, cordon placé autour du bonnet. La lite, en tulle, dentelle ou mousseline gaufrée bordant le passe. Cette partie s’appelait “paillé” car l’ondulation était réalisée, après amidonnage, avec des pailles de seigle. Le ruban, de soie brochée, de faille ou de moire, il sert à masquer le cordon de serrage. Avant l’apparition des broderies, les coiffes n’était pas toujours portées avec des rubans. Une coiffe est un tissu, de forme variée, souvent brodé en tout ou partie, porté par les femmes pour couvrir leur chevelure. La coiffe est une forme de couvre-chef en tissu porté par les femmes. Autrefois destinée au double usage de dissimulation du visage et de la chevelure et de protection de la tête, la coiffe est devenue dans le civil un accessoire de mode. On recense dans la plupart des provinces françaises des coiffes. Certaines ne concernent qu'une seule commune d'une région. La coiffe est désormais un élément du costume folklorique, mais aussi du costume de certains ordres religieux. Je reste à votre disposition pour toutes questions.
AUTHENTIQUE COIFFE TOURANGELLE TOURAINE MARIAGE MARIE SOLOGNE BLOIS CONFOLENTAISE BRODERIE DENTELLE COSTUME FOLKLORE FOLKLORIQUE H2266Ancienne coiffe de mariée, broderie dentelle, de la région de Sologne Blois ou Confolentaise à identifier. La coiffe du jour du mariage était généralement ornée d’une fleur entourée d’une couronne de fleurs. N' hésitez pas à parcourir mon compte, je propose d' autres modèles à la vente Toutes nos coiffes proviennent d' une succession, sans défauts majeur, sinon le temps qui est passé, notons une minime déchirure sur le dessus. N'étant pas spécialiste nous ne pouvons confirmer l'origine et le nom de cette coiffe. N' hésitez pas à nous faire part de vos connaissances. Vendu tel que présenté. Pour l'état merci de bien détailler les photos. Les photos font partie intégrante de la description. Dimensions :Hauteur: 25.5 cm Largeur: 24 cm Je reste à votre disposition pour toutes questions. COIFFES TOURANGELLES Dans ce que les générations se transmettent tout n’est pas patrimoine. Celui-ci se construit dans la durée, entre autrefois et l’aujourd’hui. Le patrimoine n’a de sens que comme passerelle entre une culture d’autrefois qui témoigne du passé et une autre qui reste à venir. Les coiffes témoignent, elles sont des lectures de vies de femmes, de leur identité, des grands moments de leur existence : enfance, puberté, mariage, naissances, travail, cérémonies, mort des proches et vie quotidienne Parcourir l’univers des coiffes, c’est aussi mesurer les effets d’une globalisation sur plusieurs siècles qui dissout peu à peu les codes vestimentaires, identitaires, pour s’ouvrir à la ville et à l’industrie, puis à la mode et aujourd’hui à un standard mondial. Par un simple voile, un petit bonnet de coton ou un hennin sophistiqué, chaque femme, quelle que soit son appartenance sociale ou religieuse, se devait de couvrir ses cheveux… Quelques dates : 1789 : l’abolition des privilèges ouvre l’accès au port de la soie, des dentelles et des broderies deviennent possible à toutes les femmes, quelle que soit leur appartenance sociale.1870 : l’absence des hommes contraint le femmes à gagner du temps :les ajours à l’aiguille disparaissent pour laisser la place à la dentelle mécanique. Anecdote: le port de la jupe courte aurait été initié par les vendéennes afin d’attirer le peu d’hommes restants. Au début du XIXe siècle, au simple rôle utilitaire que jouait le bonnet porté par les paysannes, va se substituer un véritable code d’identité culturel et social de la femme. Cette évolution va débuter à la restauration, vers 1815 et la guerre de 1914 en achèvera le déclin. La coiffe se compose de quatre éléments principaux :Le fond de coiffe, généralement la partie la plus décorée, était protégé des cheveux par une sous coiffe, les cheveux étaient remontés en chignon. La passe, cordon placé autour du bonnet. La lite, en tulle, dentelle ou mousseline gaufrée bordant le passe. Cette partie s’appelait “paillé” car l’ondulation était réalisée, après amidonnage, avec des pailles de seigle. Le ruban, de soie brochée, de faille ou de moire, il sert à masquer le cordon de serrage. Avant l’apparition des broderies, les coiffes n’était pas toujours portées avec des rubans. Une coiffe est un tissu, de forme variée, souvent brodé en tout ou partie, porté par les femmes pour couvrir leur chevelure. La coiffe est une forme de couvre-chef en tissu porté par les femmes. Autrefois destinée au double usage de dissimulation du visage et de la chevelure et de protection de la tête, la coiffe est devenue dans le civil un accessoire de mode. On recense dans la plupart des provinces françaises des coiffes. Certaines ne concernent qu'une seule commune d'une région. La coiffe est désormais un élément du costume folklorique, mais aussi du costume de certains ordres religieux. Je reste à votre disposition pour toutes questions.